Перейти к основному содержанию
Le bonheur étant en retard
Le bonheur étant en retard. UN CIMITIERE. Alexandre passe devant le cimitière. Une voix derriere la caméra: J’ai lu dans un livre,que le bonheur se trouve toujours devant, c’est la loi de la nature. Cette citation m’a rappelé la pratique des peuples du Nord à seller les chiens. Un morceau de viande s’accroche à un brancard, et les chiens prennent leur galop à toutes leurs forces pour gagner leurs morceau de bonheur. LE METRO. Le cabinet de l’ingénieur. L’ingénieur est assis devant son bureau, il examine quelques papiers et le livret de travail d’Alexandre. Dans la pièce il y a un lavabeau, un miroir. Une cage avec un perroquet est suspendue au mur. L’ingénieur: Qu’est ce qui t’a amené dans le souterrain? tu as peur du soleil? Alexandre: Non! Il me semble que sous la terre il est plus tranquille. L’ingénieur: C’est peu probable que sur des rails tu seras plus tranquille. Bon, on y vas, je te montrerai le train que tu vas conduire. Ils sortent de la pièce. Ils descendent les escaliers. Ils prennent le wagon qui passe. Le tain va au dépôt et s’arrête pres des autres rames. Les portes éléctriques s’ouvrent. Alexandre et l’ingénieur sortent du wagon. Le mécanicien sort de sa cabine et se dirige vers eux. Il salue l’ingénieur et Alexandre. L’ingénieur: (au mécanicien) Faites connaissance, c’est notre nouveau mécanicien. Je suis sûr que vous serez copains. Alexandre et l’ingénieur vont le long du tunnel. Ils s’approchent d’une station abandonée. L’ingénieur: Cette station est fermée. Les mûres du tunnel tombent en ruines. La lumière du jour pénétre dans le tunnel. En ce moment-là Alexandre aperçoit un petit arbrisseau à côté dse rails. Alexandre: (avec étonnement) C’est bizarre, regardez, une plante a germé là-bas. L’ingénieur: Allez, on y vas. L’ingénieur: (ouvre la porte de la cabine et monte. Il appuit sur l’un des boutons. La cabine s’éclaire) Ces wagons, nous les avons ammené de PITER (SPB). Ils sont achetés il y longtemps. Avant vous ce train a été conduit pqr un ancien mécanitien. Il y a trois jours au’il a décédé. Sur ce petit écran vous pouvez voir tout ce qui se passe adns les wagons C’est un téléphone pour la communication avec le dispatcher dans les cas extrèmes. A côoté de la fenêtre droite de la cabine se trouve une petite serviette verte. L’ingénieur: (regarde la serviette). Tu vas jeter cette serviette. Elle est restée de ce vieill ard. Sûrement là-dedans il y a de la nourriture pourie. Il avait toujours de la nourriture sur lui. Alexandre: Bon, je vais la jeter. L’ingénieur: Demain, à partir de six heures du matin tu vas commencer ton travail. Alexandre pénètre dans l’entrée de son immeuble. Il monte les escaliers et s’approche vers sa porte. La porte d’à côté s’ouvre. Une femme obèse sort et frappe à la porte en criant. Rose: Alexandre, je te dis la dernière fois, paye ton loyer. Tu n’as pas payé déja depuis trois mois. Si tu ne payes pas jusqu’à la fin de ce mois-ci tu peux t’en aller. Rose rentre et claque la porte. La pièce d’Alexandre. Il y a cinq ou six tableau suspendus aux murs. A côté des tableaux est suspendu un collier en cuire. Les photos de famille d’Alexandre. Alexandre et sa femme en robe de mariée, entourés des gens. Tous le monde sauf Alexandre regardent dans l’objectif. Dans la chambre il y a une table et une chaise. Il y a aussi un petit lit. Alexandre regarde les photos et se met sur le lit. Dans la chambre il y a une pendule. Le chiffre «3» est grand, les autres sont petites. LE MATIN. Alexandre descend dans le métro. Sur les éscaliers d’une station de correspondance un homme agé avec son saxophone dans les mains s’est appuié contre le mûr. A côté de lui une jeune fille de dix ans aux cheveux claires avec des lunettes se tient debout. Elle essuie la poussière sur le saxophone. Le saxophoniste est aveugle. Une boîte en bois avec un billet de 2 dollars est posée sur l’escalier. La fillette regarde Alexandre avec ses yeux pitoyables. Alexandre s’arrête pour une seconde. Il cherche des sous dans ses poches sans qu’on s’en aperçoive, mais il ne les trouve pas et continue à descendre. Le cabinet de l’ingénieur. Alexandre communique le calendrier de son travail. L’ingénieur prend ses papiers et Alexandre sort du cabinet. Il entre dans la cabine du train. Il appuie sur le bouton. Il allume la lumière. Il s’assoit sur son siège. Il verifie l’air. Les chiffres donnent le zéro. Il allume la surveillance vidéo. Il regarde la valise verte. Il tire le levier. En ce moment le saxophoniste aveugle a soumis son sax à ses lèvres. Une mélodie lente s’est retenue et en ce moment-là le train commence à bouger. Le train passe les stations l’une après l’autre. Alexandre regarde dans le vide. La voix derrière la caméra: Les gens montent et descendent du train. Il y a ceux qui sont préssés et ceux qui ne le sont pas. Il me semble qu’on peut comparer le bonheur avec le train. Il est inadmissible d’être en retard. Les gens attendent que le train arrive à la station. Le train s’approche vers la station. La vitesse baisse de soixante à trente. D’un coup un jeune garçon vêtu en sportif saute sur les rails et court dans le tunnel obscure. Alexandre communique au dispatcheur: - Il y a quelqu’un qui court vers le tunnel sur la troisième ligne. Débranchez la tention sur les rails. - Compris. La tention est enlevée de la troisième ligne. Trois miliciers se mettent à courrir après cet homme dans le tunnel. Alexandre rend son poste et va à la cantine. LA CANTINE. Trois mécaniciens boivent leur café auour d’une table ronde. Alexandre prend son café chéz la bouffetière et séassoit à côté des mécaniciens. 1-er mécanicien: Comment ça vas, Alexandre? Pas de difficultés? Alexandre: Aujourd’hui il y a eu un cas bizarre. N jeune garçon s’est jeté sur les rails. Puis il a commencé à courir vers le tunnel. Les miliciers se sont mis à courir après lui. 2-ème mécanicien: Oui, il y a des cas pareils. Une fois je m’aprochais à la station. Une personne à lunettes était à l’entrée de la station. Je ne pouvais m’imaginer qu’il allait se jeter sur les rails. J’ai crié et j’ai arêté le train. Mes mains ont commencé à trembler. On m’a aider à sortir du wagon. J’étais tout bouleversé. Pendant tout une semaine je n’ai pas pu m’en remettre. 1-er mécanicien: (en riant) Durant mon service une femme aussi s’est jetée sous le train. J’ai vu de mes propres yeux comment elle s’est jetée. C’était une femme agée. Mais j’ai arrêté le train au bout de la station. Cela m’a nullement dérangé. On ramassait ses morceaux des rails dans un sac. Pour une seconde je me suis souvenu des boîtes de conserves vides que j’avais à la maison. Les morceaux de cette femme rentrerait là-dedant. LE SOIR. Alexandre monte l’éscalier de correspondance. L’aveugle saxophoniste et sa fille ont l’intention de partir. La fillette mets de l’argent dans la poche de saxophoniste. La voix derrière la caméra: J’ai toujours eu l’envie de leurs donner des sous, mais je n’ai jamais pu jouir de ce bonheur. Parce que je n’avais pas de sous. Alexandre longe une rue dans l’obscurité. Il passe devant le théâtre de l’opéra et de ballet. Deux limousines s’arrêtent devant le téâtre. Des femmes et des hommes sortent de limousines. Alexandre veut les rejoindre et rentrer au théâtre. Les femes et les hommes de belle présence entrent au théâtre. Alexandre s’approche des portes en dernier. Un homme fort aui verifie les billets, dis: - Vos billets, s’il vous plaît! Alexandre: Quel billet? Je suis avec ces gens-là. - Ces gens-là sont invités. - Je suis invité aussi. - Soît vous montrez vos billets, soît j’appelle la milice. Alexandre: D’accord, d’accord, je vais partir. Mais ces gens-là vont s’inquièter. S’ils me demandent, vous leur dites que je suis partie en urgence. LE METRO. Le train s’approche vers la station. Au bout de la station il y a une grande blonde. Alexandre la regarde. Elle entre dans le premier wagon. Alexandre met la caméra sur le premier wagon. Il regarde la jeune femme. Le train s’arrête sur la prochaine station. La jeune femme sorte du train et se perde dans la foule. LA CANTINE. Alexandre et trois mécaniciens sont assis et discutent. Alexandre: Elle avait un costume rouge fonsée sur elle. Elle est blonde. Elle était très attirante. A l’époque on sortait une marque de savon et sur la couverture il y avqit une photo d’une blonde. Puis ce savon a été enlevé de circulation. Cette jeune fille ressemble trop à cette blonde. LE METRO. Le train s’approche vers la station. La jeune fille est sur sa même place. Alexandre la voit et arêtte le train plus près d’une manière que le dernier wagon reste dans le tunnel. Les portes souvrent et la jeune fille entre dans le premier wagon. Alexandre appuit sur le premier bouton pour la regarder. On entend les cries des gens du dernier wagon. LA CANTINE. Alexandre et trois mécaniciens sont assisent autour d’une table. Alexandre: Je l’ai vue encore une fois. J’ai tellement perdu la contenance que le dernier wagon n’a pas sorti sur la station. On m’a fait une blâme, mais je ne regrette pas. LE LENDEMAIN. Le facteur frappe à la porte de troisième appartement. La maîtresse sorte, la femme obèse. Elle prend la lettre et frappe à la porte d’Alexandre. Alexandre dort dans son lit. Il se lève et regarde dans l’oeuil-de-boeuf. La femme crie. Rose: (en s’énervant) Paye ton loyer, je te le dis. On t’a apporté une lettre, je te le dis mille fois, écris le numéro de ton appartement. Si tu ne me donne pqs ton loyer, tu ne verras pas ta lettre. Alexandre reste immobile devant sa porte. La femme rentre chez elle. Mais revien tout à coup, met la lettre sous la porte et crie: «Paye ton loyer». La voix derrière la caméra: j’aime exiter cette femme. Je me délecte de ces cries. C’est parce que je m’ennuie en solitude, et elle est comme un médicament anesthésique contre la solitude. Mais parfois il arrive que ce médicament est le poison. LA MATINEE. Alexandre descends les escaliers de correspondance. Le saxophoniste est assis sur une petite chaise et so,nole. Sa fille prend les sous de sa poche et les mets dans la siènne. Alexandre passe devant eux. Il entre dans le cabinet de l’ingénieur. Le portrait de Van-Gaugh avec sa tête bandée est suspendu au-dessous de la tête de l’ingénieur dans son cabinet. L’ingénieur est assis avec sa tête bandée. L’ingénieur: A! Alexandre est arrivé. (Alexandre donne ses papiers à l’ingénieur. L’ingénieur prend ses papiers et les observe). Donc, tu est sur la troisième ligne. Et tu as passé le cabinet médical. Bon, tu peux t’en aller. Alexandre: Monsieur l’ingénieur, pourquoi vous avez votre visage bandé? L’ingénieur: Je ne sais pas! On m’a enlevé une dent et il y q une enflure à la place. Alexandre a envie de partir. Il s’arrête. Il se retourne et regarde le portrait de Van-Gaugh. Puis regarde l’ingénieur et sort du cabinet. Alexandre (à soi-même): Mais ce monsieur sur la photo ressemblait trop à l’ingénieur. Bien sûr, je sais qui c’est, mais j’ai due oublier tout simplement. CORRESPONDANCE DU METRO. La fille du saxophoniste se reveille. La petite fille: Papa! Ils demandent une chanson. Un homme et une femme, les japonais, sont debout devant eux. Le saxophoniste touche son sax par ses lèvres. Alexandre demmare son train. Le train arrive lentement de tunnel sombre sur la station. Une blonde est au bout de la salle sur la plateforme. Elle monte dans le wagon. Le train prend sa vitesse. Alexandre communique le dispatcheur. Le dispatcher: - Oui, j’écoute. Alexandre: - Vous pouvez me changer par quelqu’un sur la prochaine station? Je ne me sens pas très bien. Sur la prochaine station Alexandre sort de sa cabine et un autre mécanicien prend sa place. Alexandre rejoind cette jeune femme à la sortie du métro. Alexandre: Excusez-moi, vous ne desiriez vous faire filmer? Zoïa: (en riant) Vous pensez, que je conviendrais. Alexandre: Oui, je vous crois ! A mon avis vous êtes une vraie héroine. Vous savez, je suis réalisateur. Il me semble que vous convenez au rôle principale féminine dans mon film. Zoïa: Vous le dîtyes sérieusement? Ce n’est pas une blague? Alexandre: Non, non, je suis tout à fait sérieux. Zoïa: Sûrement, ce n’est pas une porno. Alexandre: Qu’est-ce que vous dites, dans ce film il n’est pas question de ça. Zoïa: Bon, laissez-moi votre numéreau de téléphone, je vous passerqis un coup de fil. Alexandre: (en se perdant) Vous avez un stylo? Zoïa: (sorte un stylo de son sac) Et qu’est ce que vous avez comme vêtement sur vous? Ca ressemble à l’uniforme de mécanicien. Alexandre: Je rentre du plateau de tournage. Je n’ai pas eu de possibilité de me changer. Dans ce film il s’agit de la vie d’un mécanicien. Là-bas... Zoïa: Bon, maintenant je suis en retard, je vous passerais un coup de fil. Zoïa prends une feuille de papier de ses mains et lève sa main pour arrêter un taxi. Alexandre: Je vous accompagne? Zoïa: Merci, ne vous donnez pas de la peine. Zoïa monte dans un taxi, la voiture démarre. Alexandre: (crie) Je vais vous attendre! LE LENDEMAIN. Alexandre écrit une lettre dans sa pièce. Sur une feuille blanche les phrases suivantes: - J’attends ta réponse avec impatience. J’embrasse tes mains. Chao. Salut à tout le monde. Alexandre passe sa langue sur la lettre, la colle et sort de son appartement. LA VILLE. Le batiment de la poste. Alexandre passe entre les portes. Il s’approche vers la jeune fille qui est derrière la vitre. Alexandre: Excusez-moi, quand est-ce que la lettre arrivera? La jeune fille: Je ne sais pas, actuellement j’envois les lettres suivant les adresses marquées. Il est possible qu’en trois jours elle arrivera. Alexandre: Vous savez, je dois aller au féstival du cinéma aux Etat-Unis, à New-York. Voilà pourquoi j’ai envie que la lettre arrive le plus vite possible. J’ai envie de recevoir la reponse avant mon départ. La jeune fille: C’est votre affaire. Alexandre: Je peux vous accompagner après le travail? La jeune fille: S’il vous plaît, reculez de la fenêtre. Je connais bien la route. Il ne faut pas m’accompagner. Alexandre s’éloigne de la fenêtre et les gens viennent vers la jeune fille avec leurs questions. METRO. Le cabinet de l’ingénieur. L’ingénieur: Compagnons, un journaliste vas venir tout à l’heure. Il prépare un article sur les employers du métropolitain. Cherchez à répondre bien aux questions. L’article, qu’on le veuille ou non, va être lu par le chef du métropolitain. Essayons qu’il reste contant. Alexandre regarde le portrait de nouveau. Puis il regarde l’ingénieur. La porte du cabinet s’ouvre. Un journaliste aux cheveux longs et avec ses lunettes entre. Il a dans ses main une chemise. Il serre la main à l’ingénieur. Ils se saluent. Puis il salue les mécaniciens. Il s’qssoit sur une chaise. Le journaliste: J’ai envie d’écrire un article sur vous, sur le métro. Ce sera mon premier article. S’il vous plaît, parlez-moi de vos principes de travail. L’ingénieur commence à parler. En ce moment on entands de loin le bruit des rails. IL semble que l’ingénieur parle en mesure des rails. Tout le monde regarde attentivement l’ingénieur. Tout d’un coup l’attention du journaliste se concentre sur le tableau. Le journaliste: Bien, mqis pourquoi vous avez suspendu le tableau de Van-Gaugh et ne pas d’un des gouverneurs? Alexandre serre ses dents. L’ingénieur: A vrais dire, je n’en sais rien. Ce tableau a été suspendu avant moi. Nous n’avons pas du tout pensé à ce sujet. Sous la terre il y a peu qui nous contrôlent. Il y a personne qui s’interesse à ce qui est suspendu sous le terre. Le journaliste: Une fois Van-Gaugue tombe amoureux d’une femme qui s’appelle Rachelle. Elle était la plus ardente de son époque, elle se vendait. Tout son argent Van-Gaugue dépenser pour les rencontres avec elle. Un jour il reste avec pas un sous. Il est devans son balcon brûlant de pqssion vers son amour. Rachelle sait qu’il n’a pas d’argent et n’ouvre pas sa porte. Elle est en bon humeur et commence à se moquer de lui. Rachelle lui demande de l’argent soit son oreille. Van-Gaugh n’arrive pas à se métriser. Il rentre dans son atelier et coupe son oreille gauche avec une lame. Il enlève le sang et s’enveloppe dans un chiffon blanc. Van-Gaugh se retourne, apelle la jeune fille et lui donne son oreile. «Je te jure, tu vas toujours te souvenir de moi» - c’étaient ces derniers paroles qu’il lui a dit. Après çà il se retrouve à l’hopitale psichiatrique et à l’age de 37 ans il se suicide. L’ingénieur commence à pleurer. Il cache son visage dans ses mains et il s’éclate en sanglots. Ses larmes coulent comme des ruiseaux entre ses doits. Les mécaniciens essayent de le calmer. Un des mécanicien apporte de l’eau. Le journaliste: Calmez-vous. Peut-être ça n’a même pas eu lieu. Ne vous en faites donc pas. A coup sûr, ce n’est pas vrai. Personne ne vas pas se couper l’oreille. Le journaliste sort du cabinet. Alexandre sort avec lui. Alexandre: Vous êtes journaliste? Le journaliste se retourne, le regarde de travers et continue à marcher. Alexandre le suit. Alexandre: Vous savez, nous sommes sous la terre toute la journée. Notre travail demande beaucoup de résponsabilité. Nous sommes résponsables de la vie de toutes les passagers. Si vous écriviez nous allons avoir l’augmentation de salaire. Soit, au moin, ils nous changeront des anciens wagons pour des nouveaux. La journaliste: D’accord, ne vous enquiètez pas là-dessus, j’en écrirai sans faute. Mais maintenant je doit m’en aller. Un train s’arrête devant eux. Les portes éléctriques s’ouvrent et le journaliste entre dans le wagon. Le journaliste: Merci. (Les regards d’Alexandre et de journaliste se croisent par les portes éléctriques qui se ferment). Le wagon se perd de vue dans le tunnel obscure. LA PIECE D’ALEXANDRE. Alexandre lit une lettre. Je me languie de vous. Mon âme vous sert les 24 heures sur 24 et elle est occupée par vous. C’est sa lourde profession, mais sa profession aimée. Le téléphone sonne. Alexandre: Allo! Zoïa: Bonjour. Comment tu vas? Alexandre: A! C’est vous! Je n’ai pas cru que vous alliez téléphoner. Cela veut dire que vous êtes d’accord d’être tournée dans un film. Zoïa: Non, ce n’est pas pour ce prétexte que je téléphone. On peut se rencontrer, parler selon nos âmes. Alexandre: (la sueur coule sur son front) Se rencontrer! Où?.. Zoïa: Où tu voudras. Alexandre: Mais où? Zoïa: Demain a 9 heures attends-moi devant le théatre de l’opéra et de ballet. (des sonneries courtes) Alexandre est devant le théâtre. Zoé sorte de la voiture «Pobeda». Elle traverce la rue et se dirige vers Alexandre. Elle s’approche d’Alexandre et le prend sous le bras. Zoïa: Je t’ai fait attendre? Allons, nous allons diner. Ici, pas loin, il y a un bon réstaurant. Ils marchent. Un homme, qui été devant le théâtre, en voyant Alexandre se mis a crier: - Monsieur, je leurs ai dis que vous avez eu des urgences, mais ils ne vous connaissent pas. - Zoé: (marche et se retourne) Qui est-ce? Alexandre: Je ne sais pas Zoïa: Tu sais, dans une grande ville il y a des gros problèmes. Parfois sur les routes il y a des bouchons, alors pour ne pas être en retard il m’arrive de descendre dans le métro. Cette voiture appartiens à ma mère. Elle a été offerte à ma mère par Staline. Maman était danseuse du ballet. Mais jusqu’à cela elle était balayeuse. L’affaire était ainsi. Une fois Staline vient au théâtre. Tous se font sortir du théâtre, ayant interrompu le spéctacle du ballet. Staline et ses collègues s’assoient dans le premier rang. Toutes les minces danceuses du ballet sortent l’une après l’autre sur la scène. Les gens de Staline ont perdu la tête de cette beauté. Il n’y a personne qui plaise à Staline. Et ma mère balayait quelque part. Tant bien que mal ma mère se fais habillée en robe de la danseuse du ballet. A cette époque elle pesait 100 kilos. Ma mère s’est placée à peine dans cette robe. Ont l’a à peine persuadé de le faire, comme c’était genant, au’une telle grande personne est venue. Nous comptons aue sûr toi. Tu étais balayeuse, maintenant tu deviendras danseuse du ballet. Quelle est la differance? Finalement ma mère est sortie sur la scène. Après avoir étre tournée quelques fois sur la scène et après avoir renversé le décors, elle a plu au chef. C’est pourquoi il lui a offert cette voiture. Dès ce jours ma mère a jeté son balais et devenue danceuse du ballet. Plusieurs fois elle voulait maigrir. Mais Staline lui a transmis que si elle maigrira, il va lui reprendre sa voiture. C’est pourquoi elle n’a pas maigrie. Soudain ils voient une personne qui marche au bord de la route. Zoïa: (en riant à Alexandre) Tu veux que je l’écrase? Alexandre: (en s’inquiètant) Non, il faut pas. Zoïa appuis sur l’acélérateur. La voiture prends sa vitesse. La voiture va directement sur la personne. Alexandre crie. Zoïa passe devant cette homme à grande vitesse. L’homme éfrayé tombe au bord de la route. Zoïa ri. Zoïa: Eh bien, comment? Tu as eu peur? Tu ne resselble à un homme que aime les distractions. La voiture s’arrête devant le restaurant. Tous les deux ils sortent de la voiture et rentrent au restaurant. Un orchestre joue sur la scène. Il y a des gens qui saluent Zoïa de leurs places. Zoïa les salue et agite sa main. Les seveurs viennent vers eux et leurs proposent de se mettre à table. Ils se mette à table l’un en face de l’autre. Un homme obèse les approche. Il fais les baise-mains à Zoïa sans faire attention à Alexandre. Zoïa et l’homme obèse se parlent entre eux pendant quelque minutes. L’homme s’incline vers Zoïa et serre la main de Zoïa sur sa poitrine. L’orchestre ne permet pas de les entendre. Les garçons du restaurant apportent sans cesse les boissons divers et les hors-d’oeuvres. L’orchestre a cessé de jouer. L’homme obèse s’est éloigné d’eux. Alexandre s’énerve sur sa chaise au fur et à mesure que la table se remplisse des plats. Il commence à s’inquièté. Alexandre: (à Zoïa)Peut-être nous allons y aller. Zoïa:(fait l‘aire de na pas entendre) Ce monsieur obèse est le propriètaire de ce réstaurant. Un brave homme. Nous avons fait l’école ensemble. Alexandre s’étonne. Zoïa: Il veut devenir ingénieur dans le métro. Son oncle est le chef du métropolotain. Aelxandre s’énérve sur sa chaise. Zoïa: Ne t’inquiète pas, je vais tous réglée. Tu sais, ma maman est en train de mourir en ce moment. Toute sa vie elle voulait que j’épouse un brave homme. Alexandre: Tu connais Van-Gaugh? Zoïa: Non, je le connais pas. Où est-ce qu’il travaille? Alexandre: Il ne travaille pas. Van-Gaugh était un grand homme, il a veçu en France. Ce peintre tombe amoureux d’une femme déchue. Pour la rencontrer il se coupe son oreille pour elle. Zoïa: (se baisse, regarde Alexandre droit dans les yeux et murmure) Vous pourriez vous priver d’oreille pour votre amour? La pause. Alexandre: (s’est perdu, il se lève, il se tient aux oreilles et sans rien comprendre crie) Non, ne touche pas mes oreilles. Les gents autours les regardent. Zoïa: (collence à rire) Bon, assiez-toi. Je plaisante. (elle prends une cigarette de son sac et le garçon allume sa cigarette avec une allumètte). Tu est un homme honêtte (à Alexandre). C’est pour la première fois que je rencontre un homme comme toi. Mais tu es un pauvre homme. Je n’irais pas me marier avec toi. Et tes oreiiles – je n’en veux pas. Et tu n’est pas Van-Gaugh pour donner tes oreilles à quelqu’un. Je ne sort pas pour l’argent. Je sort avec qui je veux. Par exemple avec ce monsieur obèse. Parfois je fais jouir des hommes comme toi. Je ne suis pas tombée. Je sais compter, même si je ne sais pas trop les mathématiques. J’ai eu six hommes. A l’école le prof des mathématiques me disait que je suis une tache de sience mathématique. J’avais que des mauvaises nôtes pour cette discipline. Oui, je sortais avec six hommes. (elle se baisse vers Alexandre et murmure) si tu te prive de ton oreille tu sera mon septième. Et sept – c’est un chiffre sacrée. Et alors, tu es d’accord? Alexandre s’étouffe. L’orchestre commence à jouer de nouveau. Après la musique alexandre se remet un peu. LA NUIT. La voiture roule par des ruelles et s’arrête. Une ambulence s’est arrêtée devant. Zoïa a des larmes sur ses yeux. Il ont descenduent de la voiture. Alexandre tâche de la calmer. Ils entrent par la porte d’entrée. Devant la porte une foule s’est réunis. Au milieu de la pièce il y a un lit en bois. Une femme malade est allongée sur le lit. A côté du malade le medecin est assis. Il verifie son pouls. L’infirmière prends le médicament de l’ampoule par la seringue. A côté les trois femmes sont en voiles et pleurent doucement. Zoïa s’approche du lit de sa maman et s’assoit. Elle prend les mains de sa maman dans les siens. Bien que ses yeux sont plaines de larmes elle tache de ne pas faire l’aire triste. Zoïa: Maman, ce garçon s’appelle Alexandre. Il est un bon garçon, il est réalisateur, il travail au métropolitain en tant que mécanicien. Tu as toujours voulu que je rencontre un bon garçon. Zoïa regarde Alexandre d’un regard implorant. Elle l’appelle de s’approcher vers elle. Les cheveux blancs de la femme sont dispersés sur son visage. Elle ouvre ses yeux avec peine te commence à lever sa main à peine. Alexandre lui donne sa main. La vieille femme croise les mans d’Alexandre et de Zoïa. La vieille femme: (en murmurant) Gardez-la (elle finit de murmurer et regarde dans un point). Zoïa commence à pleurer à sanglot. Les gens qui étaient sur le balcon rentrent dans la pièce. La femme tient encore ses mains dans le poing. Le medecin et l’infirmière prennent leurs affaires et s’en vont. Alexandre enlève avec peine sa main de la main de la femme et sort de la pièce. Il descend les escaliers et se retrouve dans la rue. «La Pobeda» devant lui avait l’air effrayant. La voiture a bougé brusquement et a avancé un peu en avant. Une lumière vive tombait sur la voiture. Soudain comme si la voiture s’est mise à parler d’une voix féminine: Alexandre, n’aie pas peur, je n’ai pas besoin de tes oreilles. Alexandre ferme ses oreilles par ses mains. Au troisième étage dans la fenêtre ouverte Zoïa criait: -Alexandre, n’a pas peur, je n’ai pas besoin de tes oreilles. Ne part pas, tu n’est pas le Van-Gaugh. Alexandre se met à courrir et se perds de vue. LE LENDEMAIN.METRO. Les miliciers cherchent quelqu’un parmis les gens. Alexandre arrête le train sur la station. Il ouvre la porte de sa cabine et sort. Il remet les papiers à un autre mécanicien et revient dans sa cabine. Dans la cabine un jeune garçon s’est pénétré dans un coin. Il a un couteau dans ses mains. Le jeune garçon: (dirige le couteau vers lui) Assié-toi et conduit! Alexandre: Où ça? Le jeune garçon: A Paris. Alexandre: C’est le métro. Nous ne pouvons pas aller à Paris. Le jeune garçon: Je te le dis: nous allons à Paris. Alexandre:(s’assoit, tire le levier et parle dans son micro)L’arrêt prochain – Paris. Le jeune garçon: (se met à rire)Tu es un bon garçon. Alexandre: Je t’ai reconue. Une autre fois tu avais les mêmes vêtements. Les miliciers te poursuivaient. Le jeune garçon: Quand j’était peutit je voulais moi aussis être milicien. Quand j’ai grandis, la vie a étranglé ce rêve dans moi. Parfois il me semble que pour trouver un autre il faut d’adord trouver soi-même. Ils sont très ridicules quand ils poursuivent les autres. Oui, j’ai faillit oublier, dans ma poche il y a quelque chose pour toi. Mais je ne peux pas te le donner maintenant. Tu le recevra d’une façon ou d’une autre. Alexandre: Je n’ai rien compris. Le jeun garçon: Tu sais, la vie, la carrière des gens, s’habiller à la mode, - tous ça est temporaire. Les gens se trompent. La vie est comme un oeuvre. Le début, le dénouement, le blé du conflit et le finale. A la fin tous meurent. Moi, je ne suis pas écrivain. Mon frère est écrivain. Il écrit des oeuvres de cette manière. Il écrit bien. Parfois je lui envoye de l’argent. Il est vrais que c’est l’argent malhonnête, mais il ne le sais pas. Je veux qu’il écrive tout le temps et qu’il ne s’occupe pas d’autres choses. Le train s’arrête sur une station. Le jeune garçon: (ouvre la porte de la cabine) Bien, merci, je m’en vais. Au revoir. Alexandre: Salut. Le jeune garçon se perds dans la foule. Le train demarre. LA NUIT. Alexandre monte l’escalateur. L’aveugle saxophoniste et sa fille ramassent ses affaires et partent. Alexandre les regarde. Il se balade en ville et penetre l’entrée de son immeuble. A pas lents il s’approche à sa porte. Il ouvre sa porte avec une clé et la referme de l’autre côté. Alexandre regarde dans l’oeuil-de-beuf. La porte d’à côté s’ouvre. Un soldat et derrière lui une femme obèse sortent. Elle l’embrasse et jete de l’eau derrière lui. Puis elle ferme ses levres avec un mouchoire et se met à pleurer. Le soldat s’en vas. Une femme obèse s’approche vers la porte d’Alexandre et crie: «Paye ton loyer». La pause. Alexandre regarde les photos. La photo, ou sa femme lave la vaisselle dans la cuisine. Il se souvient. L’eau qui coule du robinet se ranime. Tu pense uniquement de tes affaires. Dans ton ésprit il y a que des nouveaux wagons. Tu n’as pas un sous dans ta poche. Tu ne pense pas à moi. Nous vivons dans une boîte d’allumettes. Je ne parle pas de moi, même mon chien reste affamé. Soudain le téléphone sonne. Alexandre s’est perdu. Il se rappelle de Zoïa. Zoïa... -Vous pourriez vous priver d’oreille pour votre amour? Alexandre ferme ses oreilles et crie. Le téléphone continue à sonner. Alexandre prend le couteau de la cuisine et coupe le fil du téléphone. LE LENDEMAIN. METRO. Le saxophoniste touche le saxophone par ses lèvres et le train tourne dans le tunnel comme le serpain enchanté par la musique. Alexandre est au buffet. Il est assis avec trois mécaniciens. Alexandre: Il ne fait pas froid aujourd’hui? 2-ème mécanicien: Ce matin il avait un brouillard. Maintenant je ne sais pas. 1-er mécanicien: Pour nous il n’est pas très important de savoir quel temps fait-il. Aujourd’hui c’est le jour du salaire. 3-ème mécanicien: Est-ce que c’est une vie? Nous ne voyons pas de soleil. Alexandre: Quand je suis venu pour la première fois ici, je pensais que c’était temporaire. Mais ce n’était pas le cas. Plus tard j’ai compris que ce qui vient là ne sort plus d’ici. Nous ressemblons aux taupes : notre bonheur et notre malheur sont sous la terre. Mon père appelait toujours les gens du métropolitain – les taupes. S’il savait que son fils en grandissant allait devenir taupe, il n’aurai pas parler comme ça. J’ai toujours voulu devenir réalisateur. Mais mon père n’avait pas d’argent pour mes études. Nous étions tellement pauvres, que ma pousette était faite de la planche du cerceuil. 1-er mécanicien: On dit que l’ingénieur vas être remplacé. Alexandre: (se mord ses lèvres) Cela veut dire que c’était vrai. 2-ème mécanicien: Le chef du métropolitain amènera son neveu. Mais son neveu est le dernier gredin. Je le connais, il était prof de gymnastique. Il a été licencieé de l’école à cause de mauvaise attitude vis-à-vis des élèves. Suivant ses élèves il voulait l’intimité avec eux. Alexandre: Il faudrai le mettre en tôle. 2-ème mécanicien: Comme il néy avait pas de rapport écrit, il n’a pas été jugé. En plus, il se faisait aidé par son oncle. Il faut avoir un bon «toit» pour se le permettre. Nous n’avons pas ce sorte de soutien. La buffetière: (lève le tube du téléphone) Bien ... maintenant aux mécaniciens) les garçons, on dispatche les salaires. Allez signer. Alexandre et trois mécaniciens sortent de la cantine. Alexandre compte l’argent en montant l’escalateur. De son paquet de billets il prend trois billets de banque et monte les éscaliers. Il regarde à droite et à gauche. Il s’approche à un grand milicien. Alexandre: Excusez-moi! Ici il y avaient un saxophoniste et sa fille. Le milicier: Oui, ils étiaient là! (raconte comment ça c’est passé). Dans le cadre: Le saxophoniste joue au saxophone et s’assoit tout d’un coup. La couleur de son visage change et il ne respire plus. La petite fille le tiens par ses époles et commence à le secouer. Ensuite elle prenne le saxophone dans ses petites mains et tente de jouer, les larmes coulent sur son visage. Les gens s’en vont en entendant les sons terribles. La fille met le saxophone de côté. En pleurant elle cours vers une cabine téléphonique. Elle appuit à peine sur les boutons. Le milicien: Puis l’embulence est arrivée. Ils l’ont emporté sur les civières. Sa fille l’a suivie . Pourquoi vous avez besoin d’eux? Vous voulez leur donner cet argent? Alexandre: Oui, je suis un peu en retard. Le milicien: Vous pouvez donner cet argent à moi. Alexandre: Regarde le milicien. Le milicien tient l’argent. Alexandre lâche l’argent et en hochant sa tête s’éloigne de là-bas. La pluie commence. Le tonnerre s’eclate, Alexandre cache son visage dans ses mains. Il a mal au dent. Il longe la rue. Il entre dans la clinique la plus proche, il monte les escaliers. Il prend un papier à l’infirmière qui est assise derrière le vitre. Sur le papier est marqué cabinet 45. Sans rentrer dans le cabinet il revient et demande l’infirmière. Alexandre: Excusez-moi, quel mois nous sommes? L’infirmière: Septembre. Alexandre: Quelle date? L’infirmière: Le trois. Alexandre: (soupire) il hoche sa tête. Il se dirige vers le cabinet. Du cabinet on entend les cris. Alexandre revient. Il sort de la clinique. Il longe la rue. A côté du trottoire il y a une limousine. Les gens sortent de la voiture. Les hommes en costumes blancs et les femmes en robes de soirée noires entrent dans le restaurant. Alexandre aussi rentre dans ce restaurant. Il s’assoit à table dans un coin. Le garçon s’approche à sa table. - Qu’est-ce que vous désirez? Alexandre: Les spagetti. Le garçon: Vous désirez autre choses? Alexandre: Encore du thé. Le garçon s’en va. Autour d’une autre table les femmes et les hommes, sorties de la limousine, trinquent leurs bocaux. Il y a un parmis eux qui fait le toaste: -Un beau jour une belle jeune fille va se baigner à la rivière. En même temps un mouton va lui aussi boire de l’eau de cette rivière. Au bord de la rivière la jeune fille se déshabille et veut passer dans l’eau. Elle voit le mouton et le regarde. Mais le mouton, à son tour, regarde la jeune fille. Chers Hommes, buvons pour que dans les situations pareilles les hommes ne restqient pas debout en regardant comme ce mouton. Tous le monde rit. Puis ils se metent à dancer en paires. Alexandre: regarde ses spagetti et se souvient de sa femme. Sa femme est dans la cuisine: - Tu sais, mon cheri, mon chef est un homme bien. Demain il part à Londre. Toi aussi est un homme bien. Dommage que tu n’est pas le chef. Alexqndre: Je ne suis pas le chef, mais je t’aime. Je pense que s’est plus important. Nous allons avoir des nouveaux wagons. Le matin sur son lit Alexandre trouve un papier. Sur ce papier il été marqué: Ce n’est pas un logement. C’est un abri antiaérien. Je vais à Londre. Si un jour tu decideras de te pendre, tu peux utiliser le collier de mon chien. Je te le laisse. Soudain il commence a avoir mal aux dent, il tient sa joue, il se lève et sort du restaurant . Il pleut. Il se dirige vers la clinique. Il entre dedans. Une jeune femme ferme le cabinet 45. Alexandre: Excusez-moi. Il n’y a pas de medecin? Mariya: (regarde Alexandre) Je suis medecin, mais je dois m’en aller. Alexandre: (ravit) Qu’est-ce que vous êtes belle. Il enlève la main de sa joue. Mariya: (rit) Probablement, vous avez mal au dent, mais pourquoi si tard? (Elle ouvre la porte) Entrez, je vais voir. Alexandre passe et s’assoit dans un fauteuil. Alexandre: Vous aimeriez vous faire tourner dans un film? Mariya: Vous êtes réalisateur. Alexandre: Oui. Mariya: C’est un film sur quoi? Alexandre: Un film d’amour. Il s’agit d’une vie d’un mécanicien. Mariya: Vous savez, a vrai dire, je n’ai pas de temps libre. Toute la journée je suis dans ma clinique. La clinique n’est pas très grande. Ici nous avons un neuropathologue, un chirurgien, un oculiste. Et nous avons qu’un seul dentiste – c’est moi. Il y a beaucoup d’autres spécialistes. Tous les jours j’ai une cinquintaine de patiens. Il est vrais que je me fatigue beaucoup, mais j’aime mon metier. Ouvrez, s’il vous plait, votre bouche. Oui, ce dent, il faut le faire enlever. Les autres sont bonnes. J’aurais pu soigner, mais il est trop tard. Alexandre crie. Mariya: (étonée) Pourquoi vous crier, je ne touche pas votre dent. Alexandre: Vous avez marché sur mon pied. Mariya: (rie) Excusez-moi, s’il vous plait. Elle lui fait une injection et enlève sa dent. Ils sortent du clinique. Il pleut. Mariya ouvre son parapluie. Alexandre aussi est sous le parapluie. Alexandre: Je peut vous accompagner? (il a un cotton dans sa bouche). Mariya: Oui, vous pouvez. Ils longent la rue. Alexandre: Je peux vous accompagner tous les jours? Mariya: Je sort à 10 heures. Il vous sera tard. Alexandre: Non, pour moi il ne sera tard. Je viendrai. Mariya: Ne parlez pas. Vous pouvez inflamer votre dent. Alexandre se tait. Ils s’arrêtent dans la ruelle. Mariya: Eh ba! Il n’ya pas un taxi. Alexandre: (la regarde) Les gouttes de la pluie sur les cheveux de Mariya reluisent à de differents couleurs. Chacune d’eux est comme une empoule. Alexandre: Vous êtes belle. Mais pourquoi vous avez les yeux si tristes. Il me semble que vous êtes seulitaire. Je l’ai sentie dans vous du premier coup d’oeuil. Comme a dit poète «une solitaire parmis plusieures, parmis des milliers de solitaires». Vous savez, la solutude c’est comme si vous êtes au cirque, autour il y a beaucoup de bruit, mais vous n’entendez rien. Et autour il y une foule, mais comme s’il n’y avait personne. Une voiture passe. Alexandre: Voilà le taxi. (Lève sa main) Le taxi passe à côté sans s’arrêter. Il les éclabousse de la boue. Mariya: (rie) Oh! Nous sommes mouillés. Alexandre: Quel con ! Tu vas voir ce que je frais avec toi! Dans l’obscurité une voiture apparaisse de nouveau. Le taxiste en voyant Mariya veut s’arrêter. Mais en ayant vu Alexandre, il passe à vitesse devant eux. Ils ne disent rien. La lumière des phares apparaisse de loin. Alexandre déboutonne sa chemise et se met au milieu de la route. Mariya, n’as pas peur, cette fois-ci il s’arrêtera. Au fur et à mesure aue la lumière s’approche, le bruit du moteur devient de plus en plus fort. C’est un tramway. Mariya court vers Alexandre, le tire par la main, les deux s’assoyent sur le trottoir et se mettent à rire. Alexandre: Vous savez, aujourd’hui j’ai eu 45 ans. Si le tramway m’avait écrasé, ce aurai pu ne pas se passé. METRO. Alexandre. Le train s’approche vers la station. Il y a quelqu’un en forme sportive qui se jette sous le train brusquement. Les miliciens viennent et regardent, où il s’est jeté. Altxandre essaye d’arrêter le train. Le train s’arrête. Les mains d’Alexandre tremblent. Une foule se reunit autour. Les gens parlent entre eux. Une des femmes: Probablement, il était affamé. Je le connaissais. Le compagnon de mon ami. Un des hommes: Qui sait ? Peut-être sa femme l’a trompée. Dommage pour lui. (Un autre garçon serre la main de sa femme). L’enfant: Il a bien sauté. Sa mère lui done une taloche. L’enfant: (à sa maman) Pourquoi tu m’as frappé? Ce n’est pas moi qui l’a poussé. 1-er mécanicien donne à Alexandre un verre d’eau. Alexandre boit l’eau. Les miliciens et les mécaniciens descendent sur les rails. Un des milicien regarde la poche ensanglantée des vetements sportifs. Le milicien: Pas de documents. Une seule feuile de papier. Le chef: Regarde, qu’est-ce que est marqué dedant. Le milicien: (lit) Ici est marqué: N’accusez pas le mécanicien. Alexandre s’est souvenu de ses parôles «Dans ma poche il y a quelque chose pour vous». LA NUIT. Alexandre longe la rue. Il ouvre la porte de son appartement. Il sort et ferme la porte. Une autre porte s’ouvre. Une femme sorte. Elle s’approche à la porte d’Alexandre. Alexandre ouvre sa porte. Alexandre: (fâché) Qu’est-ce qui c’est passé? Pourquoi tu crie? Tiens, prend cet argent pour le loyer. (Il lui donne l’argent. La femme baisse ses mains). La femme: (compte l’argent) Et pour ce mois-ci? Comment faire? Alexandre: Pour ce mois-ci je te donnerai demain. Il claque la porte devant son nez. La femme: (frappe à la porte de nouveau, avec sa grosse voix) Alexandre, si tu ne donne pas l’argent demain pour ce mois-ci, tu libère l’appartement à la fin de ce moi. Alexandre est devant la clinique. Mariya écoute sous la porte d’un cabinet. Le cabinet. Les médecins sont assis. Le médecin avec des lunettes: (il a un papier dans ses mains)La maladie de Mariya est insoignable. Elle a le cancer du sang. Les résultats des analyses demontrent que les erythrocytes ont perdu leur fonction. La quantité de leucocytes exède la quantité d’erythrocytes. Elle a une leucocythémie. Le médecin avec des cheveux blancs: Oh! La pauvre, combien il lui reste de vivre? Le médecin avec des lunettes: Je ne peut pas dire exactement, 3 mois maximum. Un autre médecin: Dommage, elle est tellement jeune. Malgré tout elle doit continuer à travailler. Nous devons tâcher pour qu’elle ne l’aperçoive pas. Mariya est decendue l’escalier en sanglotant. Dans la rue elle rencontre Alexandre. Elle essuis ses larmes. Alexandre: Qu’est-ce qui c’est passé? Mariya: (en riant) Tu sais, nous avons reçu un médicament surprenant. Il donne des larmes aux yeux. Une nouvelle invention quand-même, ils ont fait des expériments. Tiens, allons à l’opéra. Ils donnent des bons spéctacles. Alexandre: Bon, on y vas. Ils arrivent devant l’opéra. Sur les portes il y a une annonce: « Le collectif du théâtre se trouve en tournée». Alexandre: Dommage, nous sommes en retard. Mariya: J’ai très faim. Alexandre: Allons au restaurant. Mariya: Allons-y. Ils longent la rue. Ils rentrent dans le restuarant. Il y a des musiciens qui jouent sur la scène. Ils s’assoient autour d’une des tables vides. Un jeune garçon joue «Ave Mariya» au violon. Impression de la musique Mariya commence a avoir les larmes sur ses yeux, elle mets sa main sur la main d’Alexandre et la serre un peu. Alexandre rougit. Mariya: Il joue bien. Il est intéressant, es-ce que je pourrais apprendre à jouer si bien en trois mois? Alexandre: Bien sur, l’être humain peut tout. Il n’y a rien de difficile dans tout ça. Mariya: Non, je ne pourrais pas. Parfois je me sens comme ta dent pourrie, il faut l’enlever, c’est tout. Alexandre: Qu’est-ce que tu racontes? Tu est très belle. Je t’... Tu sais, quand nous sommes ensembles, je perds la sensation du temps, il me reste que la sensation du bonheur. Un garçon s’approche à leur table et allume une bougie avec une allumette. Le garçon: (à Alexandre) Vous allez commander encore des spagettis et un thé? Alexandre: Oui. Le garçon: (à Mariya) Et vous? Mariya: J’ai envie une joulienne et un peu de Martini. Le garçon s’éloigne. Alexandre: Tout les soirs je dine dans ce restaurant, c’est mon restaurant aimé. Mariya: Tout les soirs vous mangez vos spagettis? Alexandre: Oui, mes spagettis. Mariya: Pourquoi les spagettis? Alexandre: Ils ressembleent à des femmes difficilement accessibles. Les macaronis ne se tiennent pas sur une fourchette. Mariya: (rit et applodit) Une exellente idée. Je n’ai pas pensée à ça. Ous êtes un homme intéressant. Je regrette que nous nous sommes rencontrés trop tard. Je le regrette beaucoup. Alexandre: Non, qu’est-ce que vous dites? Il n’est pas tard du tout. Nous nous sommes rencontrés à temps et en heures. Vous savez, aujourd’hui j’ai écrasé un homme avec ma Mercédés. Mariya: Oh! Ils vont vous mettre en tôle. Alexandre: En faite, il s’est jetté sous ma voiture tout seul. Dans sa poche il y avait un papier, où il y avait marqué que je ne suis pas coupable. Mais je me sens coupable. Mariya: Je sais. C’est difficile pour vous, mais vous n’êtes pas coupables. Votre voiture n’a rien eu? Alexandre: Ma voiture n’a rien eu, mais elle est vieille. Il faut prendre une neuve. Mariya: Quel model? Alexandre: Je ne sais pas, uns Mercédés comme uns Mercédés. Elle roule sur les rails comme sur de roulettes. Mariya: (surprise) Quoi? Sur les rails? Alexandre: (perdu) Qu’est-ce que je raconte? Excuse-moi. Sur le goudron. Mariya: Parmis tous les moyens de transport je préfère le métro, c’est le transport écologiquement pure. Alexandre a baissé ses yeux. Mariya: Peut-être on ira danser. Alexandre: Allons danser! Il se levent de la table et vont danser aux sons de la musique. Mariya a mis ses bras sur les époles d’Alexandre. Pour une seconde elle s’est imaginée en robe de fiancée, et Alexandre en costume rouge de fiancé. Elle sourit, une larme coule de ses yeux. D’un coup elle se souvient des paroles du médecin: 3 jours ou 3 mois. Elle se renfrogne. Elle enlève ses mains des époles d’Alexandre. Mariya: Allons nous assoir. Ils s’assoient. Mariya: Nous ne sommes pas obligés de se rencontrer tous les jours. Nous pouvons descuter au téléphone. Alexandre: Non. C’est comme sentire la rose avec un masque à gaze. Mariya: (en rient) Et vous pensez me sentir? Vous êtes très persistant. Partons, il est tard. (Au garçon) Apportez la note, s’il vous plait. Le garçon apporte la note. Alexandre: (regarde la note. A soi-même) - Si je regle cette note je ne pourrais pas payer mon loyer. Mariya: (à Alexandre) Ne t’inquète pas, je vais la regler. Mariya sort l’argent (un billet d’un rouble) et le donne au garçon. Le garçon apporte la monnais. Mariya la met dans son sac sans compté . Ils sortent du restaurant. Alexandre et Mariya longent une rue sombre. Alexandre: Pourquoi tu as mis l’argent dans ton sac sans le compter? Mariya: Cela n’a plus aucune importance pour moi. En comptant mes sous je ne pourrai rien changer. Aujourd’hui le soleil du lendemain est important pour moi. Est-ce que je pourrais voir ces rayons du soleil. Alexandre: Qu’est-ce que vous êtes pessimiste. Vous ne devez pas parler comme ça. Vous avez votre bonheur devant vous, vous êtes jeune. Alexandre a ouvert ses bras et s’est tourné autour de soi. Il regarde le ciel. J’ai envie que nos relations durent jusqu’à l’infinie, comme l’univers. J’ai envie que nous donnions la vie à une nouvelle génération. Mariya: (Une larme coule de ses yieux) Vous croyez que nous serons ensemble jusqu’à l’infinie. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil levant et sous le soleil couchant. Alexandre: Attendez! A côté de la route il y a un batiment d’un étage. Les fleurs poussent dans le jardin. Alexandre vas la-bàs, coupe une fleur et donne à Mariya. Mariya prend la fleur et sourit. Soudain elle veux baisser ses mains. Alexandre prends ses mains et les serre sur sa poitrine. Derrière les rideaux il y a un homme à barbe longue qui les regarde. Il y a l’ombre de lumière qui tombe sur Mariya en forme d’une croix. Mariya: Ah! J’ai faillit oublier! (Sort un peutit livre en couverture rouge) C’est pour ton anniverssaire. Il est sur la vie privée et la vie artistique de Van-Gaugh. Alexandre fait des grands yeux. Ayant entendu le nom de Van-Gaugh, il est perdu. Il prends le livre (ses mains tremblent). La pause. Alexandre: Si vous n’êtes pas contre, je vous accompagne demain. Mariya: Non, demain ce n’est pas possible, mais je vous promet que nous allons nous rencontrer sans faute. Elle est sur une marche de l’escalier en haut. Elle regarde Alexandre en tenant la fleur dans ses mains. Puis elle rentre dans sa porte en toussant. En rentrant dans son appartement elle voit que le sang coule de son nez. Alexandre rentre à la maison. Il pénétre l’entrée de son immeuble. On entends les pleures de l’appartement d’à côté. Rose pleure derrière sa porte avec un journal dans ses mains. La voix de Rose. - Mon fils! Les journaux écrivent sur ton héroïsme. Tu est le héros. Pourquoi tu est mort? En effets, les héros ne meurent pas. Alexandre entre dans son appartement et ferme la porte. METRO. Alexandre avec un papier dans ses mains est devant le cabinet de l’ingénieur. Le mécanicien: Tu as entendu? Un nouveau ingénieur est venu. Alexandre: (surpris) Quand est-il arrivé? Le mécanicien: Il vient d’arrivé aujourd’hui. Il est dans sont cabinet. Mais our l’instant n’y vas pas. Il y a quelqu’un chez lui. La porte de l’ingénieur s’ouvre. Un autre mécanicien sort du cabinet en sifflant. La pause. La porte s’ouvre de nouveau. Une dispatchere aux yeux étroites avec ses cheveux défaits, en fermant les boutons de sa chemise sur sa poitrine sort du cabinet. Alexandre entre dans le cabinet. Un homme obèse est à la place de l’ingénieur. Sur ses épaules il a un chat blanc Siamios. A la place du portrait de Van-Gaugh – le portrait de Staline. Sur son bureau – un drapeau de l’URSS, les plûmes du perroquet sont dans la poubelle à grilles. Le calendrier des traveaux est posé au-dessus du lavabos, à la place du miroir. Alexandre mets sur le bureau de l’ingénieur son calendrier de travail. L’ingénieur: Comment t’appelle-tu? Alexandre: Alexandre. L’ingénieur: Qu’est-ce que c’est comme prénom? Tu ne peux pas trouver un bon prénom? Alexandre: Je ne sais pas. Mon nom ne me dérange pas. L’ingénieur: Je suis un homme qui aime son peuple. Toi aussi en tant que représentant de notre peuple, tu dois porter un bon prénom. Alexandre: Je n’ai pas compris? L’ingénieur: Il n’y a rien de compliqué. Tu sais faire du cheval? Alexandre: Non. Je sais conduire mon train. L’ingénieur: Non. Je veux que tu t’assois sur mes genous et que tu hennisses comme un cheval. Alexandre: Excusez-moi. Je ne peux pas le faire. Mon affaire c’est de conduire mon train. L’ingénieur: C’est l’affaire du maître. Alors tu dois démissionner. Vas, réflechis. Tu as une journée dans ta disposition. Alexandre sort du cabinet et se dirige vers la cantine. LA CANTINE. Les mécaniciens sont assis. 2-ème mécanicien: (à Alexandre) Comment tu vas, tes affaires? Quoi de neuf? Alexandre: J’ai fait connaissance d’une femme. Elle est très attirante, je veux lui proposer le mariage. Elle est dantiste. Je pense qu’elle acceptera ma proposition avec plaisir. 2-ème mécanicien: Et ce n’est pas par hasard une femme, la photo de laquelle est sur la couverture du savon? Alexandre: Je ne sais pas. Mais je vais lui faire une proposition. 1-er mécanicien: Bien, comment tu vas faire le mariage? Avec notre paye il est impossible d’organiser le mariage. Alexandre: Je l’aime et ma déscision est définitive. 2-ème mécanicien: Tu lui as déjà parlé de ça? Alexandre: Non. A toutes les femmes avec lesquelles je sortais j’avouais mon amour, mais à elle je n’ai pas dis, parce que je suis vraiment amoureux d’elle. 2-ème mécanicien: Quoi qu’il arrive, ça vaut la peine de te féliciter. 1-er mécanicien: Hier par la télé on a montré les morts en Afghanistan. L’horreur. Alexandre: Ma voisine a perdu son fils la-bàs. On a fait un article sur lui dans un journal. 1-er mécanicien: (étonné) Tu lis les journaux? Alexandre: Non, sa mère pleurait avec un journal dans ses mains. 1-er mécanicien: Quelle lâcheté! Il ne suffit pas qu’ils l’ont tué, mais encore ils écrivent des articles sur lui dans les journaux. Alexandre: Les enfants, et si nous allions visiter l’ancien ingénieur. Il doit être en mauvaise humeur en ce moment. Il sera content de nous voir. 3-ème mécanicien: Tu as raison, il faut le visiter. Nous allons acheté un peu de produits. Il s’égaiera un peu. L’année dernière pour mon anniversaire on m’a offert une boîte de chocolat. Elle est encore à la maison. Nous allons la prendre. LA NUIT. Alexandre longe les rues sombres. Il s’arrête devant un magasin de fleurs. Sur le magasin il y a une enseigne: «Trois roses». Toutes les fleures sont posées dans les panniers differants devant le magasin, sur chaque il y a une étiquette. Alexandre regarde ces fleurs. Le vendeur enveloppe un nouveau bouquet des orchidées. Alexandre: Les fleurs sont comme les femmes. Il faut savoir les garder. Il y a des fleurs qui attendent toujours la caresse et le soin de leur maître. Il y a ce pour lesquelles un seul arrosage est suffisant. Tendres, parfumé et avec les épines, ayant besoin du soin. Il y les certaines femmes commes les roses aux épines. Les mots amères comme les épines blessent l’âme de l’être humain. Et les certaines sont tellement fragiles qu’elles meurent très rapidement. (En riant) Comme les femmes susceptibles. Alexandre: J’ai eu aussi un magasin de fleurs. J’en sais quelque chose. Le vendeur: (en réjouissant) C’est merveilleux, c’est très bien ! Vous êtes un homme qu’il me faut. J’ai une petite affaire pour vous. Alexandre: S’il vous plaît. Le vendeur: Vous savez, le dernier temps j’ai eu des difficultés avec la température dans mon magasin. La plupart des fleurs meurt. Qu’est-ce qu’on peut entreprendre? Alexandre: (se gratte la tête) Il n’y a rien de difficile. Mettez les fleurs dans le frigo. Qu’ils prennent froid un peu. Vendez-les congelés. En arrivant à la maison ils se decongelerons et retrouverons la même image. Le vendeur: Vous-même, vous avez essayé cette méthode? Alexandre: Bien sûr. Et encore. Le vendeur: (réjouit) Merci, je vais suivre votre conseil. Alexandre: Je peux vous prendre une fleur? Le vendeur: S’il vous plait, prenez laquelle vous voulez. Je n’ai pas besoin d’argent. Alexandre prend une fleur, dit « merci » et s’éloigne. Alexandre avec une fleur à la main vas vers la maison de Mariya. Il pénétre la porte d’entrée et frappe à la porte. Mariya est allongée dans son lit, le sang coule de son nez. Mariya pleure. Alexandre attend un peu, puis descend l’escalier. Mariya se lève de son lit, regarde Alexandre de sa fenêtre, il s’éloigne. Elle explose en sanglots. LE LENDEMAIN. Alexandre et trois mécaniciens longent une rue. Un dès mécaniciens a une boîte de chocolat dans ses mains. Alexandre: Les enfants, j’habite dans cette maison (il montre sa fenêtre avec sa main) Attendez un instant, je vais prendre quelque chose de chez-moi. Alexandre pénétre l’entrée de sa maison. 1-er mécanicien: Et si nous achetons de la vodka? De toute façon pendant le travail il nous est interdit de boire, au moin nous pouvons boire en temps libre, et l’ingénieur, nous le visiterons plus tard. 2-ème mécanicien: Dans ce cas-là achète aussi du saucisson. 1-er mécanicien: D’accord. Ils vont au magasin alimentaire le plus proche. Bientôt ils sortent de là-bas avec un saucisson et une bouteille de vodka. 3-eme mécanicien: Bien, mais dans quoi nous allons envelopper tout ça? Porter la bouteille dans les mains n’est pas pratique, les gens nous ne comprendrons pas. Tout le monde vas penser que nous sommes des ivrognes. 1-er mécanicien: Peut-être envelopper dans un papier journal. 2-ème mécanicien: Ou est-ce que nous allons trouvé du papier journal? 1-er mécanicien: La voisine d’Alexandre a un journal. L’autre fois Alexandre lui-même a dit que sur son fils il y avait un article dans un journal. 2-ème mécanicien: Ce n’est pas bien de le faire, son fils est un héros et sa mère ne te donnera pas ce journal. 1-er mécanicien: Mais nous avons besoin de papier journal. Attendez, j’arrive tout de suite. 1-er mécanicien s’approche du bâtiment. Il s’arrête devant l’appartement N3 et frappe à la porte. Rose ouvre la porte. 1-er mécanicien: Bonjour! Rose: Bonjour! Je vous écoute, de quoi est-ce que vous avez besoin? Vous voulez louer un appartement? 1-er mécanicien: Non. Vous savez, je suis journaliste. Je veux faire un article sur votre fils à la première page du journal. J’ai entendu dire qu’il est péri. Voilà pourquoi... Rose se met à pleurer. Le mécanicien: Voilà pourquoi j’aimerais voir le journal avec un article sur lui. Rose: Bien, mon fils. Soit le bienvenue, entre. 1-er mécanicien: Merci. J’attendrai ici. Rose: (avec les larmes aux yeux, réjouit) Bien, mon fils, je vais la trouver et je te l’apporte. Pardonne-moi de grâce, j’ai pensé que tu veux louer un appartement. Rose vas chercher le journal. Elle revient et lui donne le journal. Rose: Pardonne-moi, a part ce journal je n’ai plus rien comme materiel. Le mécanicien: Vous savez, c’est mon premier travail. Merci de m’avoir aider. Je vais y aller. Rose: (crie derrière lui) Et vous êtes de quel journal? La question reste sans réponse. 1-er mécanicien s’approche aux autres mécaniciens. Ils enveloppent la vodka et le saucisson dans le papier journal. Alexandre sort du toilette. On entend le bruit de l’eau qui coule. Alexandre prend le livre que Mariya lui a donné et sort dehors. Les mécaniciens ne sont plus là. Alexandre regarde tout autour. Il ne peut pas les trouver et prend le tramway. Il s’assoit à côté d’une vieille femme. A la station suivante une femme enceinte rentre et se retrouve devant lui. En voyant une femme enceinte Alexandre a envie de se lever. Une vieille femme: (en se fâchant) Ne te lève pas, mon fils. Est-ce que tu sais qui elle est, cette femme ? Peut-être elle s’est ammusé avec les hommes dans des buissons et a gonflé son ventre. Et tu vas lui laisser ta place. Assiez-toi. Le tramway s’arrête à la station. Alexandre sort du tramway. Il vas vers une maison privée. L’ingénieur est assis sur les marches et autour de lui il y a beaucoup de chiens. Il les nourit. En apperçevant Alexandre une des cheinnes se met à l’aboyer. L’ingénieur se lève et vas vers Alexandre. Ils se saluent. L’ingénieur: Allez, rentre! Alexandre: Non, il nous sera mieux sur les marches. Je suis venu pour vous voir. Ils se sont assis sur les marches et ont résté longtemps en scilence. L’ingénieur a fouillé dans ses poches et a sorti une pipe et du tabac. Il a pris sa pipe entre ses dents prudemment et a allumé le tabac. A cet instant il a rappelé à Alexandre le portrait de Van-Gaugh. L’ingénieur resemblait à ce peintre. Alexandre: Je vous ai apporté ce livre. Comment appelaient ce peintre... oui, Van-Gaugh. Un livre sur lui. C’est un cadeau de ma future femme. L’ingénieur: Je te félicite, soyez heureux. Alexandre: Nous ne nous sommes pas encore mariés. J’ai dis ma future femme. Lisez, je vous le reprendrai après. Et le portrait de Van-Gaugh est dans ma chambre. Vous pouvez le prendre quand vous voulez. L’ingénieur: (cligne) Gardes-le, je te l’offre. Alexandre: Mais... Puis il s’est tue. La pause. L’ingénieur a sorti une photo froissé de la poche de sa veste, il l’a montre à Alexandre. Alexandre a fait les grands yeux. Sur la photo il y avait un homme avec une tête bandée. L’ingénieur: Tu sais pourquoi j’ai pleuré, quand le journaliste a raconté l’histoir de Van-Gaugh? Alexandre: Non. L’ingénieur: A l’époque il y avait des oui-dires sur mon licenciment. Je me suis senti comme une oreille coupée. Comme une oreille coupée, dont personne à besoin, inutile. C’est pourquoi j’ai pleuré. Parce que elle est inutille à Rachelle et à van-Gaugh. Toute ma vie est passée sous la terre, de la station à la station, de la jeunesse à la vieillesse. Je ne m’imagine pas ma future vie sans métro. Je ne sais pas pourquoi ils ont fait ça avec moi. La pause. La pipe de l’ingénieur s’est éteint. Il a mis son tabac et sa pipe dans sa poche. Il a mis la photo dans la poche de sa veste. Alexandre: (se lève) Bon, je vais y aller. LA NUIT. Alexandre dort. Il fait un rêve étrange. Le rêve. Alexandre se trouve à côté des bateaux au bord de la mère. Mariya est en robe blanche de mariée, en mer de couleur blanche. Elle est assise dans un bateau blanc. Van-Gaugh rame le bateau avec son visage bandé et vetu en blanc. Les mouettes blanches volent autour. L’eau de la mer est très chaude. Alexandre crie, mais le bateau s’en vas de plus en plus loin. Mariya agite la main à Alexandre. Elle se perde à l’horizon. Alexandre crie: «Mariya» et se réveille. Il essuis la sueur. Il vas dans la cuisine et lave son visage. Soudain, on entend le cheval hennit dans la rue. Il s’approche de la fenêtre. Trois mécaniciens, soulés , marchent à peine et hennissent. LE MATIN. Alexandre rentre à la clinique. Le cabinet 45 est fermé. Alexandre sort dans la rue. Alexandre est devant la maison de Mariya. Un pigeon blanc vole devant la fenêtre de Mariya. 4 personnes descendent les escaliers avec un cercueil sur leurs épaules. Sur le cercueil il y a la fleur que Alexandre a offert à Mariya. Un homme regarde de la fenêtre où les fleures sont plantées. Alexandre lève sa tête et demande: Qui est-ce? L’homme: (très étonné) Comment qui est-ce? C’est toi qui l’a accompagné l’autre soir. Tu as du vite oublié. Les mains d’Alexandre faiblissent et la fleur qu’il avqit dans sa main tombe par terre. Ces yeux se remplissent de larmes et il commence à sangloter. Alexandre longe la rue en baissant sa tête et en se courbant. Il march à peine. Il s’approche à l’opéra, unconsciemment, il monte les escaliers. Le gardien surpris le regarde faire. Alexandre s’assoit dans une loge. Dans la salle il n’y a que des Noirs. Les rideaux s’ouvrent sur la scène et le chanteur de l’opéra commense à chanter. L’orchestre joue. En ce moment Alexandre s’éclate en sanglot. Tout le monde le regarde. Alexandre est assis à côté des Noirs très riches. Le chanteur chante encore plus fort. Alexandre sanglotte de plus en plus fort. Un peu plus tard deux hommes le sort de la salle. LA CHAMBRE D’ALEXANDRE. Alexandre est assis sur une chaise. Il a des yeux rouges. Il regarde le collier suspendu à côté de ses photos. Il se rappelle des paroles de son époux: Si un jour tu decides de te pendre, tu peux prendre le collier de mon chien, je te le laisse. Alexandre se lève. Il prend le collier, il l’accroche à la lustre par un bout et le met sur son cou par l’autre bout. Il monte sur une petite chaise. Il ferme ses yeux, il veut se pendre. Tout à coup on frappe à la porte. Une femme obèse est devant sa porte et lui lit une lettre. Dans la lettre: «J’attend ta reponse. J’embrasse tes mains. Salut. Bonjour à tous. Signé: Alexandre». Rose: (cri et frappe à la porte) Tu es fou! Tu écries des lettres à toi-même. Et je pensais qu’il y quelqu’un qui t’écrit! Alexandre défait le collier et vas ouvrir la porte. Rose frappe à la porte. Alexandre ouvre la porte, tord les mains de Rose. Rose crie. Alexandre a accroché les mains de Rose aux rampes par le collier et parti. LE METRO. Alexandre ne s’arrête plus sur les stations, il les passe tous. Dans le tunnel obscure il se souvien de Mariya. Il s’imagine Mariya en robe de mariée, et soi-même en costume rouge de fiancé. Métro. Le mariage. Les wagons sont remplis de tables et de chaises. Des grands plâts et des boissons sont sur les tables. L’orchestre joue au premier wagon. Les hommes et les femmes trinquent leurs verres. Ils se tiennent par les mains. Ils sont heureux. Il pleur. Il se souvien du cerceuil. Le train rentre dans une station. Il appuit sur les boutons en se fâchant. Les portes s’ouvrent et se refèrment plusieures fois. Les gens commencent à geuler. Alexandre ferme les portes et augmente la vitesse. Les gens crient. Dispatcher: Alexandre, répond! Alexandre, arrête le train! Alexandre n’arrête pas le train sur les stations et passe à grande vitesse. Enfin il arrête le train devant la station abandonnée. Un grand arbre a grandis sur les rails. La haine et la méchanceté sur son visage se transforment en étonnement. La pause. La scilence. Cet arbre, ce petit arbrisseau, qu’ils ont vu avec l’ingénieur. Alexandre se lève. On entend la voix de dispatcher: Alexandre, vas vite au bureau de l’ingénieur. Alexandre regarde autour. Il prend la valise verte. Les gens crient dans les wagons. Les portes du train sont fermées. La fumée se lève au-dessous des voitures. Alexandre vas à pas rapide au bureau de l’ingénieur. L’ingénieur: Qu’est-ce que c’est que cette initiative personnelle? Alexandre en colère frappe la tête et le visage de l’ingénieur avec la valise. L’ingénieur tombe de sa chaise. Alexandre: (le tiens par le cou) Oui, fils de pûte. Commence à hennir comme un cheval. Fils de garce. Vas-y, fils de garce. L’ingénieur: (avec sa voix enrouée) i-oo, i-a (tousse). Alexandre lui donne des coup de pieds, le frappe dans le ventre et sur son visage. Il monte sur lui et commence à marcher sur lui. L’ingénieur est dans le sang. Alexandre sort de son bureau. Un milicien qui s’est approché de lui il frappe avec sa valise. Le milicien tombe par terre. Il s’approche à la maison où habitait Mariya. Il s’approche à l’homme qui est assis sur les marches de l’entrée. Alexandre: Excusez-moi, vous savez où Mariya est enterrée? L’homme: Dans cette ville il n’y a qu’un cimetière. LE CIMETIERE. Alexandre cherche la tombe. Il cherche dans tout le cimetière. Il se fatigue et regarde sa valise ensanglantée. Il frappe le monument avec sa valise. La valise s’ouvre. Les paquets d’argent tombent par terre. La pause. Alexandre ouvre les boutons de ses pantalons et commence à pisser sur les billets de banques. LA FIN. Un copyrights infraudable. Yossi.verdi@pochta.ru